Environ un homme sur deux estime avoir un cinquième membre plus petit que la moyenne et désire en avoir un avec quelques centimètres de plus. Pendant les relations intimes, la petite taille a-t-elle un impact ?
Il y a plusieurs femmes qui souhaitent que le zizi de leur homme soit de grande taille. Pour elles, la grandeur de l’attribut masculin est synonyme d’une bonne satisfaction au cours des relations intimes. Une recherche nous prouve le contraire ! Cette satisfaction n’a rien à avoir avec la taille. Pouvoir en faire une bonne utilisation est le plus important. L’homme qui ne ferait pas bon usage de son zizi pourrait causer des blessures à sa partenaire.
L’efficacité de l’escrimeur ne dépend pas de la taille de son épée, mais de sa capacité à s’en servir. Il est important de clarifier la situation et que chacun retrouve sa fierté : une saucisse de petite taille n’est pas du tout un frein aux ébats amoureux, si l’homme, assume son attribut, et cela, sans blocage physiologique.
De plus, une meilleure pénétration est possible grâce à plusieurs positions. Deux parmi elles sont principalement conseillées :
La position d’Andromaque, la femme est assise sur l’homme alors que ce dernier est allongé sur le dos. La levrette est la seconde, dans cette position, on voit la femme qui fait dos à son partenaire et qui se tient à quatre pattes.
Inversement, il ne faut pas pratiquer la position du missionnaire, où, l’homme est au-dessus de la femme alors qu’elle est allongée sur le dos. Cette position réduit la taille du pénis en raison de l’angle de pénétration.
Notons que dans un couple les deux conjoints se complètent.
Rédigé entre le IVe et le VIIe siècle, on peut lire dans le Kama-sutra les expressions comme « Membre gazelle » et « Membre éléphant », ainsi que les difficultés que rencontrent les hommes et les femmes. Malgré ce problème, le plus important dans une relation, c’est la complicité, la confiance, l’harmonie, l’attirance qu’il puisse y avoir sans que la taille de la verge ou du minou gêne un des partenaires.