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Un Ex-Agent De La Cia Avoue Qu’il Est L’assassin De Bob Marley

C’est une information qui n’a pas beaucoup tourné et qui pourrait pourtant être une incroyable révélation et un énorme scandale si elle s’avérait être confirmée.

Cette info n’a pas suscité un grand intérêt dans le monde, mais si elle était vraie, elle pourrait créer un gros scandale et surtout marquer l’histoire. Pendant les derniers instants de sa vie, un ex-agent de la CIA a avoué avoir assassiné Bob Marley. Rappelez-vous, la légende du reggae nous a quittés en 1981. Il n’avait que 36 ans et avait succombé à un cancer généralisé. Il avait refusé qu’on lui ampute son orteil d’où la maladie est partie, pour des raisons religieuses.

En fait, cette info nous vient du tabloïd Daily Star, connue comme pas très sérieuse. Voilà pourquoi cette information n’a pas suscité un grand intérêt. Sur son lit de mort, l’homme de 79 ans, qui a servi la CIA pendant 29 ans, a raconté qu’il était un tueur à gages. Il avait pour mission d’éliminer ceux qui constituaient une menace pour les USA. Peut-être qu’on voulait sa mort à cause du message tiers-mondiste qu’il faisait passer.

Éliminer toute personne représentant un danger pour les États-Unis

L’ex-agent de la CIA a raconté comment il a pu inoculer un virus cancéreux et des bactéries au père de Ziggy, Stephen et Damian. Il a raconté qu’il s’était fait passer pour un photographe du New-York Times pour pouvoir s’introduire dans la maison de la star, dans les hauteurs de la Blue Montain, en Jamaïque. Alors, il a offert au chanteur une paire de Converse, les chaussures préférées du chanteur, dans lesquelles il avait caché une aiguille empoisonnée. « Quand il a essayé le pied droit, il a crié ‘OUUUCH.’ C’était ça. Sa vie était finie à partir de maintenant », a confié le tueur.

D’après Bill, c’était courant d’assassiner des stars rebelles : « Il y a eu une série d’assassinats de personnalité de figures de la contre-culture aux Etats-Unis dans la fin des années 60, le début des années 70. À l’époque de Bob Marley, nous pensions que la subtilité devait être à l’ordre du jour. Plus de balles, ni de cervelles exposées ».

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