Beyoncé est allée devant les tribunaux pour tenter de faire interdire à une agence d’événementiel de se servir du nom de sa fille, Blue Ivy. Mais cela s’annonce compliqué.
Mauvaise surprise.
Au prime abord, c’était pour « protéger sa fille », que la star afro-américaine avait fait enregistrer la marque Blue Ivy Carter dans le registre américain en 2012. Mais c’était aussi, pour lancer business et de mettre sur le marché des produits portant le nom de sa fille. Seulement, en voulant renouveler le dépôt en 2017, Beyoncé a eu une mauvaise nouvelle. En réalité, sa requête a été rejetée pour la simple raison que Madame Veronica Morales était déjà passé faire le dépôt du nom de Blue Ivy pour le compte de son entreprise.
La société de Veronica Morales voudrait tirer profit de la popularité de la petite, voilà ce que suspectent les avocats de Beyoncé. Néanmoins, il est important de mentionner que la société événementielle Blue Ivy & Co a été créée en 2009, c’est donc trois années avant l’arrivée au monde de la fille. Veronica Morales est celle à qui appartient ce nom depuis ce temps.
Veronica Morales incrimine
Madame Morales a affirmé que la chanteuse a essayé de s’approprier illégalement du nom de Blue Ivy par le passé, car en février 2017, Jonathan Schwartz, un des représentants de Beyoncé, s’était donnée les moyens pour faire le dépôt, lors du lancement de plusieurs opérations commerciales, dont une ligne cosmétique et des accessoires pour cheveux. La chanteuse rejette toutefois cette accusation, en indiquant que M. Schwartz n’est plus membre de son groupe depuis un moment en raison de sa condamnation à six ans de prison pour arnaque et fraude fiscale…
Quand on y pense bien, on se rend compte que Madame Morales pourrait laisser des plumes dans cette affaire. À la naissance de Blue Ivy, la fille de Beyoncé, Madame Morales avait en réalité su tirer profit de l’occasion pour mentionner : « À part Blue Ivy, qui pourrait mettre sur pied un événement pour célébrer Blue Ivy de B&J ». En considérant cette déclaration, il devient difficile de la croire quand elle affirme ne pas avoir l’intention de profiter du nom de la petite.