Kevin Federline, qui reçoit 11 000 000 FCFA par mois de son ex-épouse, Britney Spears pour la pension alimentaire de leurs enfants, lui intente un procès afin d’obtenir plus de soutien financier pour les enfants.
Le DJ, qui a été marié à la pop star pendant deux ans, a déposé des documents juridiques demandant une modification de leur contrat de pension alimentaire pour enfants et pour que Britney Spears paye les honoraires de son avocat qu’il a engagé pour gérer cette affaire.
Britney Spears verse 11 000 000 FCFA de pension alimentaire depuis 2008 pour ses deux fils, Sean, 12 ans, et Jayden, 11 ans. Initialement, des infos publiées en mars avaient rapporté que Federline souhaitait revoir l’entente existante. Mais maintenant, il demande l’intervention officielle du tribunal pour augmenter le montant de la pension.
Le magazine en ligne E ! a rapporté que Federline avait affirmé que ses revenus avaient baissé de façon significative depuis la dernière modification de son accord, alors que selon lui, le revenu annuel de Britney Spears est d’environ 19 milliards FCFA. Actuellement, il estime son revenu à 1 600 000 FCFA par mois, soit « moins de 1 % » du revenu estimatif de Britney Spears.
Dans les documents, Federline a précisé qu’il avait perdu en « popularité » et qu’il n’était plus demandé par rapport à il y a dix ans, ainsi son revenu a été négativement affecté. Il dit qu’il vit actuellement dans une maison de 2 000 pieds carrés avec sa femme actuelle, leurs deux enfants, deux enfants d’un précédent mariage et les deux fils qu’il a eus avec Britney Spears. En conséquence, il dit qu’il ne peut pas offrir un style de vie semblable à celui que ses enfants ont avec Britney Spears, citant sa maison de 13 000 pieds carrés et une liste des commodités de la propriété.
« Sean et Jayden doivent partager une chambre chez moi », déclarent-ils dans les documents. « Il n’y a pas de place pour eux pour qu’ils invitent des amis ou aient des soirées pyjama ». Il a ajouté qu’il n’a pas été en mesure d’emmener les enfants en vacances depuis des années.
Par conséquent, il demande plus de soutien pour les enfants, « pour avoir une sorte de parité entre les styles de vie ».
