DJ Arafat a révélé qu’il ne comptait pas baisser les bras après la décision de la justice qui l’a condamné à 12 mois de prison et il a pris par le même canal pour dénoncer certaines lacunes du système judiciaire.
Voici la retranscription de sa dernière déclaration du samedi 26 mai 2018 :
« Je n’ai jamais reçu aucune convocation de la part du procureur, donc je ne suis allé nulle part. Personne n’était là pour en témoigner, ils ont rapporté que je ne m’étais pas présenté au commissariat d’Angré, mais j’y étais. J’ai raconté ce qui s’était passé et l’affaire a suivi son cours. Quand les parents de Régis Naï doivent me transmettre un document, ils ne vont jamais voir mon avocat, mais ils ont son contact. Ils ne donnent aucun document à personne. Ils font comme ils veulent.
Donc, il est normal qu’Arafat ne se soit jamais présenté lors des procès. Cependant, mon avocat était toujours présent pour me représenter. En fait, je ne me déplace pas beaucoup en raison de mes concerts. Dans les 20 prochains jours, je ferai certainement appel et la procédure continuera. Nous comptons sur la compréhension du juge en charge de l’affaire pour donner notre version des faits ».
DJ Arafat, justice, vidéo et maltraitance !
Ceci est une image extraite de la vidéo postée sur les réseaux sociaux par l’artiste !
Un tribunal d’Abidjan a condamné DJ Arafat pour coups et blessures volontaires, maltraitance sur un ado mineur qu’il avait sous sa garde et qui dansait pour lui.
Cette affaire a commencé en janvier 2018. L’artiste venait alors de publier une vidéo qui a tout de suite fait le tour de la toile. On pouvait voir Arafat en train de torturer le jeune homme qui était totalement nu et couché face contre terre sur le sol.
L’artiste bien connu pour ne pas dire que la vérité est venu plus tard pour expliquer qu’il avait fait cela, car il était tombé sur le jeune en train de fumer de la drogue. Il a déclaré : « J’ai choisi de lui donner une bonne leçon, il était comme un fils pour moi. Il a touché à la drogue, j’ai peut-être mal fait de filmer ça ».