Découvrez Mary et sa première fille Vertasha, qui sont nées amantes. Eh oui vous ne vous trompez pas ! Amantes !
Mary, une maman de 3 bouts de chou a déclaré qu’elle et sa fille sont devenues partenaires sex*elles après une séparation très dure avec son époux, car sa fille était là pour l’aider à passer cette étape.
Leur union a fait un tabac sur le net pendant le week-end. Mary a reconnu qu’on l’avait menacée de mort. Néanmoins, elle aime bien la réputation qu’elle a actuellement sur son compte Twitter Maryandvertasha.
Mary qui a également deux autres enfants, dont un fils et une fille qui ont respectivement 14 et 8 ans, n’a pas honte de son union. Elles ont parlé du sujet sur le net en affirmant :
Vertasha et moi sommes conscientes que nous avons une attirance mutuelle depuis qu’elle a ses 16 ans. Mais nous avons pris l’initiative qu’elle attende 18 ans, l’âge légal pour entretenir des relations. Nous voulons maintenant que tout le monde sache que nous sommes ensemble pour aider ceux qui sont dans le même cas que nous à ne pas avoir honte et se mettre à l’aise.
Nous aimerions que les gens soient au courant que nous nous adorons en tant que maman et fille, et cela de manière romantique. Il est vrai que les lois et les règlements ne permettent pas ce genre de choses, à cause de la consanguinité et des malformations congénitales qui pourraient subvenir. Sur ce dernier point, Mary Carter a ajouté ceci pour soutenir son union :
Nous sommes de sexe féminin ce qui fait donc que Vertasha et moi ne serons pas capables d’avoir des enfants. Ç’aurait été un fait si son père l’enceintait, mais un bébé allait venir au monde avec des malformations, et nous n’avions pas l’intention de faire du mal à quelqu’un. Nous ne formons qu’une poignée de personnes et nous désirons que l’on nous accepte.
Vertasha a défendu sa maman en affirmant :
Ma maman demeure ma maman. Elle agit comme telle : me prend des habits, m’achète de quoi manger et me demande de dresser le lit. Ce n’est que parfois que nous nous mettons bien mutuellement.
C’est leur affaire. Qu’elles fassent leur vie.