Après un voyage à Bruxelles, le mari réalise que sa conjointe travaille dans une vitrine en vendant son corps. Il est dépité par sa découverte.
Au cours de son voyage, un Congolais de la trentaine a attrapé sa femme qui se prostituait dans le coin branché de Bruxelles. Pendant un bon moment, elle n’avait pas d’emploi, ensuite elle l’a informé qu’elle était employée comme assistante dans une famille septuagénaire belge. Le mari n’était pas d’accord pour ce travail, mais à la longue, il accepta, car elle aurait des charges financières. Elle prenait soin de sa famille qui était à Kinshasa.
Depuis six ans, ils étaient mariés et ont eu deux enfants, dont un de cinq ans et le second de deux ans. Ils ont pris en charge une fille du conjoint, née bien avant leur rencontre. L’époux travaille dans une société de gardiennage.
C’était son ami de Kinshasa qui lui proposa de faire le show et de jouir d’un bon moment avec une Européenne dans la zone chaude de Bruxelles. En léchant les vitrines, les deux ont fortuitement rencontré sa femme. Puis cette dernière se mit à pleurer lorsqu’elle les a vus. Abattu, son conjoint ne pipa mot à part demander à son ami de partir.